L’année dernière quelque 500 paysan-ne-s, consommateurs-trices,
universitaires et représentant(e)s de la société civile ont participé à
l’échange public et annoncé de pommes de terre, à Wetteren. Les patates ont été arrachées mais très vite replantées avec l’intervention financière du gouvernement flamand. Cette action a lancé un questionnement important au sein de la société et des agriculteurs: Avons-nous vraiment besoin d’OGM ou s’agit-il plutôt d’optimiser les bénéfices des sociétés agro-industrielles?