Pour modifier nos comportements vers un meilleur respect des écosystèmes, il est nécessaire de connaître le plus exactement possible l’état de santé de notre planète et de ses hôtes vivants.
Ces analyses veulent communiquer le plus clairement possible des informations susceptibles d’aider à la prise de conscience de la dégradation en cours des ressources naturelles. Le but n’est pas de nourrir un catastrophisme paralysant, mais d’installer dans nos consciences une « tension évolutionnaire » (comme l’évoque Andrew Cohen, auteur de « Embrasser le ciel et la terre » aux éditions du Relié, 2002), seule capable de nous faire dépasser notre crainte de l’inconnu et de changer nos comportements.